« Tout porte à croire qu’il existe un certain point de l’esprit d’où la vie et la mort, le réel et l’imaginaire, le passé et le futur, le communicable et l’incommunicable, le haut et le bas cessent d’être perçus contradictoirement. »
André Breton – Second manifeste du surréalisme (1929)
Euh… peux-tu développer ?
André Breton le fait nettement mieux que je ne le pourrais.
Bon, plutôt que me défiler, je vais profiter de l’occasion pour en dire un peu plus.
J’ai entendu cette citation dans un contexte tout autre que l’art contemporain, et, durant le discours de l’orateur, elle m’a semblé d’une telle évidence que je n’ai pu m’empêcher de la transmettre ici. Maintenant, à la relecture, cela semble plus nébuleux, je le reconnais. 🙂 Pourtant, ce que j’y ai perçu relève d’une certaine forme de transcendance. Ça veut tout et rien dire, surtout dans un tel contexte, mais cela me donne un point vers lequel tendre, à tout petit pas, dans mon appréhension du réel.
Encore un peu de « branlette mentale », comme dirait mon adorateur(trice) porororo. He, c’est mon blog, non ? 😀
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